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Réseauter entre femmes: bon pour les affaires ou pour le moral?

En faisant dernièrement l’exercice de dresser une liste des réseaux et associations d’affaires dédiées aux femmes, je me suis surprise à me demander pourquoi il en existait autant. Pour quelqu’un qui ambitionnait d’en créer un exclusivement dédiée aux femmes immigrantes, disons que je me trouvais un peu mal placée pour me poser cette question. Il n’en demeure pas moins que l’on pourrait se demander en regardant cette liste pourquoi ce besoin de créer de tels réseaux, mais aussi pourquoi il en existe des fois plus d’un dans la même ville. Si on se fie à la mission de la majorité de ces regroupements, il est question de développement professionnel, d’amélioration de compétences, de réseautage d’affaires, de visibilité… des thématiques qui ne sont, à priori, pas exclusifs aux femmes d’affaires, vous en conviendrez. Certains pourraient même soulever que vu qu’il n’existe pas de réseaux d’affaires dédiés aux hommes, alors pourquoi en créer pour les femmes ? Pour ma part, je fais partie de celles et ceux qui pensent que les hommes n’ont pas (vraiment) besoin de tels réseaux : ils réseautent sans contraintes, et plus souvent que les femmes et ce, dans des cadres moins formels. Pour « Madame-Réseau » par excellence, Ruth Vachon, présidente du Réseau des femmes d’affaires du Québec, « le réseautage est un réflexe à développer chez les femmes ». À l’entendre, on comprend mieux pourquoi il y a ce besoin d’avoir ces structures conçues pour les femmes. Dans mes recherches, parmi les raisons mises de l’avant pour justifier leur existence, je reprends ici celles qui reviennent le plus souvent:

• Les femmes ne savent pas réseauter;

• Les femmes ont besoin d’un espace pour s’encourager mutuellement;

• Les femmes ne sont pas toujours convaincues des avantages du réseautage d’affaires.

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