Vous remarquerez cette année, je vous parlerai de sujets plus diverses, pour faire changement et vous aborder d’autres aspects de la vie. Tout cela fait partie du renouveau de Mots d’Elles!

Bon, je vais le préciser tout se suite. Je parle (seulement) d’alcool, et pas de toutes les boissons, d’accord?

Maintenant la question qui tue: seriez-vous prêt(e) à renoncer à votre alcool (bière, vin, cocktail, fort…) pendant 1 mois? C’est ce que vous propose la Fondation Jean Lapointe (je vous ai déjà parlé de cette fondation ici!). Durant le mois de février, pour la troisième année consécutive, c’est le défi «Les 28 jours les plus longs de ta vie» qui est organisé afin de sensibiliser les gens aux effets néfastes de l’alcool.

Alors, je dois vous dire que dans mon cas, en temps normal, ce serait plutôt facile, car je ne bois pas beaucoup d’alcool: jamais à la maison (chéri n’est vraiment pas fan). Rarement au resto. Mais comme j’assiste à beaucoup d’événements de réseautage, disons que ma consommation d’alcool se fait le plus souvent lors de ces cocktails. Alors, nous dirons que je suis une cheap buveuse sociale. Voilà ce qui est dit! Mais comme je suis en Haïti jusqu’au 18 février (donc, j’assisterai au carnaval) et quand je reviendrai à Montréal, avec plusieurs cocktails prévus, disons que la tentation sera FORTE!

Mais cette année, disons que les défis me tentent vraiment. Le genre 1 semaine à base de fruits et légumes, 1 mois sans féculents, et maintenant, 1 mois sans alcool…je suis (mentalement) prête! Pour celles et ceux qui ne l’auront pas encore compris, cela veut dire aucun verre non plus pour la Saint-Valentin! 

Pour s’inscrire au défi #28jours, un don minimal de 28$ est exigé. Ce don vous permet d’avoir accès à un laissez-passez tous les jeudis soirs du mois de février de 17h à la fermeture dans tous les Énergie Cardio de la ville, ainsi que la possibilité de gagner une multitude de prix chaque semaine. Grâce à un calcul bien simple sur l’application Facebook du défi, vous pourrez mesurer le nombre de calories reliées à l’alcool que vous consommez par semaine, en plus du coût (bien souvent élevé) relié à ces dépenses.